Gérer une entreprise comporte de nombreux risques. En cas de dettes impayées à la suite de relations économiques, d’accords commerciaux et de transactions monétaires, il est bon de s’appuyer sur des professionnels du droit pour exhorter les débiteurs et économiser du temps et de l’argent.
Les incertitudes sur les relations commerciales et la possible crise économique pourraient compromettre la conclusion équitable de plusieurs accords commerciaux. Il y a souvent des retards de paiement, mais parfois le créancier est incapable de récupérer le montant auquel il a droit. Rien qu’en Italie, environ 35,6 millions de pratiques de recouvrement de créances et de crédits ont été confiées à des sociétés spécialisées et à des cabinets d’avocats. Sur cette base, afin de s’assurer que votre entreprise dispose d’un flux de trésorerie solide, les entreprises doivent maintenir un système efficace dédié à la collecte des comptes en souffrance.
Pour cela, il est important de comprendre que le recouvrement de créances et les problématiques de recouvrement de créances nécessitent une analyse au cas par cas qui porte sur le type de crédit, les motifs des dettes ou encore la durée de la dette. Dans ce contexte, il est de bonne pratique de s’appuyer sur des cabinets d’avocats compétents, tels que VGS Avocats d’Entreprise, professionnels établis dans le domaine du recouvrement de créances en Italie.
En général, après 6 mois, la probabilité de récupérer un crédit est réduite de 30% en Italie. C’est précisément pour cette raison qu’il est important de procéder à une évaluation de la situation financière et économique du débiteur. Cette première approche est pertinente car elle détermine les motifs de non-paiement. En effet, la démarche de VGS déterminera la nature et les raisons du non-paiement afin de planifier les prochaines étapes.
Sur la base des informations recueillies lors de la première évaluation de la situation financière des débiteurs, les professionnels de VGS suggèrent fortement d’adapter la procédure en fonction des conditions du débiteur. En général, il est indispensable d’inciter le débiteur à procéder au paiement en dehors des voies judiciaires. Dans de tels contextes, les professionnels de VGS suggèrent que les courriers, avis de paiement, peuvent être efficaces dans certains cas. Au contraire, dans tous les autres cas, il convient de procéder à une injonction. C’est la procédure la plus courante et consiste à soumettre au tribunal les documents nécessaires pour prouver l’existence d’une créance contre le débiteur. Si le juge constate l’existence de la dette, l’injonction de payer est exécutoire par provision.
A ce stade de la procédure, le tribunal peut confirmer l’injonction de payer, demander des informations complémentaires ou rejeter l’appel.
En présence de la commande ou du paiement, celle-ci doit être remise au débiteur dans un délai de 60 jours et le débiteur peut s’opposer à la commande dans un délai de 40 jours. Passé ce délai, les avocats du créancier demanderont au juge d’habiliter l’injonction de payer avec clause exécutoire. Les nouveaux documents créés (Writ of Execution) sont effectifs dans un délai de 10 jours. Toutefois, dans les cas où la créance est fondée sur des chèques, une traite authentifiée par un acte notarié, l’injonction de payer est exécutoire par provision.
En effet, dans le cas où la dette n’a pas été payée dans les 10 jours, le créancier peut demander la saisie des biens du débiteur jusqu’à ce que le solde créditeur soit atteint. Cette procédure peut impliquer :
- Biens mobiliers – Monnaie, Véhicules, Mobilier, objets d’art ;
- Biens immobiliers et immobiliers – Bâtiments, terrains ;
- Actifs de tiers – En référence au crédit d’argent du débiteur ou à d’autres actifs qui ne sont pas à la disposition du débiteur.
De plus, le système juridique italien offre au créancier un autre outil capable de protéger le droit du créancier : la saisie. Par mesure de précaution, la saisie est propre à garantir la pérennité substantielle des biens dans la succession du débiteur. Ainsi, une fois le jugement gagné, le créancier s’attaquera à l’actif. Cette provision est en mesure d’anticiper les effets de la forclusion et, en cas de condamnation de l’exécutif, elle devient forclusion.
En général, il n’est pas possible d’estimer les coûts exacts de la procédure précédente. Cependant, compte tenu des activités substantiellement standardisées, il est possible d’identifier la fourchette de coûts suivante :
Avis de paiement – De 120,00 € à 310,00 €;
Appel d’injonction – De 400,00 € à 3 250,00 €;
Acte d’exécution – De 120,00 € à 900,00 €;
Saisie de titres – De 190,00 € à 1460,00 €
Saisie par des tiers – De 250,00 € à 1460,00 €